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Mardi 11 février, une manifestation sauvage en faveur de la Palestine, organisée par l’Union Étudiante, s’est tenue devant le Conseil de l’Institut. Son objectif: faire pression sur les discussions et les décisions dudit Conseil.

Depuis les attaques du 7 octobre, Sciences Po est devenu le théâtre de manifestations qui ont déjà conduit à plusieurs fermetures de l’école, notamment en mai dernier, perturbant les cours, les examens et portant atteinte à la réputation de l’établissement. Face à cela et en dépit de nos appels à la prise sanctions, l’administration est restée de marbre. Du fait de cette impunité, les protestations sont – sans grande surprise – montées en grade. Suite à cette nouvelle mobilisation, la décision d’exclure les responsables de ces agitations, dont la responsable de l’Union Etudiante Sciences Po pour 30 jours marque un tournant. L’UNI Sciences Po salue cette mesure, remercie l’administration ainsi que le directeur Luis Vassy, et espère qu’elle inaugure une politique de fermeté durable, afin que notre école retrouve l’excellence qui a toujours été la sienne.