Depuis plus d’un mois, une salle du campus Porte des Alpes de l’Université Lyon II est occupée illégalement par des militants d’extrême gauche, notamment de Solidaires. Nous y avions appris la tenue régulière de ruptures du jeûne du ramadan. Grâce à la mobilisation de l’UNI, la Présidence de l’Université a réagi en interdisant la tenue de celles-ci dans les locaux de l’Université.
Les groupuscules d’extrême gauche ont alors bloqué l’Université pour protester contre cette décision.

Or, ce mardi, les réactions de l’extrême gauche ont pris un tournant inquiétant. En effet, alors que le Professeur Fabrice Balanche qui s’était positionné publiquement contre la tenue de ces ruptures du jeûne assurait son cours magistral, des militants aux visages dissimulés sont venus perturber celui-ci aux cris de « racistes, sionistes, c’est vous les terroristes ». Le professeur a été obligé de mettre fin à son cours et de quitter l’amphithéâtre.

L’UNI demande à ce que la Présidence de l’Université Lyon II prenne ses responsabilités en sanctionnant les auteurs de ces troubles et réclame, afin de rétablir l’ordre, la fin de la mise à disposition par l’Université d’un local pour l’association Solidaires.

Victoire de l’UNI contre le communautarisme à Lyon 2 !

Depuis plus d’un mois, une salle du campus Porte des Alpes de l’Université Lyon 2 est occupée par des militants d’extrême-gauche. Ces dernier y organisent toutes sortes d’événements, y compris, des ruptures du jeûne du ramadan. Suite à l’alerte émise par l’UNI, la présidente de Lyon 2 vient d’annoncer l’interdiction de la tenue des ruptures du jeûne du ramadan dans les locaux universitaires !

Cette nouvelle victoire de l’UNI contre l’islamogauchisme dans le milieu universitaire illustre la nécessité de notre combat.

Pétition de l’uni bordeaux pour mettre fin aux blocages des campus

Depuis plusieurs mois, nos campus bordelais subissent des blocages incessants par des militants d’extrême gauche, mobilisés pour exiger l’arrêt des partenariats avec des universités israéliennes ou bien pour dénoncer les manques de moyens à l’Université. C’est surtout un prétexte pour bordéliser nos facs et empêcher les étudiants de jouir de leur première liberté: celle d’étudier !

Ces blocages nuisent à la valeur de nos diplômes: cours annulés ou en visio, examens reportés, tenue des partiels menacée…

Empêcher les étudiants de suivre leur cursus et de s’investir dans leur parcours est une atteinte inacceptable à leur liberté d’étudier. 

De plus, les universités constatent mais n’agissent pas. 

NOUS NE NOUS TAIRONS PAS FACE AU SILENCE DE NOS UNIVERSITÉS ET AUX BLOCAGES DE NOS COURS !

L’UNI BORDEAUX DEMANDE: 

. LA FIN DES BLOCAGES: un recours automatique aux forces de l’ordre doit être engagé pour débloquer nos campus. 

. UN RETOUR AU CALME: un service de sécurité doit être mandaté sur nos campus pour assurer le bon déroulement de nos cours et examens. 

. UNE TOLÉRANCE ZÉRO: l’université doit sanctionner chaque étudiant bloqueur en les identifiant et en les conduisant en section disciplinaire. 

Marche du 22 mars : la France insoumise appelle les antifas à investir les rues !

Le 18 mars dernier, La France Insoumise a lancé un appel aux antifas : « T’es antifas ? Viens on marche le 22 mars ! ». Le 22 mars est la date choisie par des partis et organisations de gauche et d’extrême-gauche pour manifester dans toute la France « contre le racisme et le fascisme ». Ceux qui s’auto-désignent « antifas » sont en réalité des membres de groupuscules violents d’extrême-gauche. Depuis des années, ces milices se livrent à des actes de violence et dintimidation dans les universités ainsi que lors des manifestations, imposant leur loi par la force.

Dans les universités, les antifas se sont illustrés par leur brutalité contre les étudiants aux opinions divergentes. À Toulouse, Nantes, Grenoble et dans de nombreux autres établissements, ils ont violemment attaqué des étudiants engagés à l’UNI pour empêcher tout débat contradictoire. Cette mécanique d’intimidation, illustrant leur logique autoritaire, s’étend bien au-delà des universités et infiltre progressivement lespace public.

À chaque grande mobilisation, ces groupes se démarquent par leurs violences contre les forces de lordre, les journalistes et leurs opposants. Lors des élections législatives de 2024, ils provoqué des incendies et d’importantes dégradations dans de nombreuses villes car les résultats du premier tour ne leur convenaient pas. Plus récemment, des élus de La France Insoumise se sont mobilisés aux côtés d’antifas violents pour tenter d’empêcher l’évacuation de la Gaîté Lyrique par les forces de l’ordre.

L’appel de LFI à la mobilisation du 22 mars, en s’appuyant sur ces éléments radicaux, démontre que le processus de radicalisation de La France Insoumise suit son cours. Il est par ailleurs important de noter que la caricature antisémite représentant Cyril Hanouna a été faite par LFI à l’occasion de ce même appel à la mobilisation. L’objectif est clair : faire marcher côte à côte l’extrême-gauche violente et des groupes communautaires antisémites.

En s’associant aux antifas, le mouvement de Jean-Luc Mélenchon envoie un signal clair : il accepte et encourage, lusage de la violence comme mode dexpression politique. Il est impératif que les responsables politiques, notamment ceux du groupe Renaissance ayant participé à l’élection de députés LFI en 2024, prennent leurs responsabilités en désignant clairement LFI comme un danger pour la démocratie.

L’UNI en première ligne face aux actes antisémites à Dauphine

Le 7 octobre 2024, un an après les attaques terroristes du Hamas contre Israël, les photos de profil de 18 étudiants de Paris-Dauphine ont été modifiées à leur insu sur l’ENT de l’université, remplacées par un drapeau palestinien accompagné du slogan Free Palestine. L’auteur de cette intrusion n’avait ciblé que des personnes de confession juive. Après cinq mois d’enquête, les autorités viennent d’identifier l’auteur présumé des faits : un certain Motawassim L., un étudiant en informatique de l’université.

Dès le début de cette affaire, les élus UNI Dauphine ont suivi de près les événements, demandant une réaction ferme face à cet acte d’une extrême gravité. L’UNI Dauphine a été la seule à interpeller publiquement la présidence pour qu’elle prenne ses responsabilités et réaffirme, par un message clair, son engagement dans la lutte contre l’antisémitisme (notre réaction dans le JDD : https://www.lejdd.fr/Societe/info-jdd-universite-dauphine-lauteur-du-piratage-visant-des-etudiants-juifs-retrouve-et-poursuivi-en-justice-155954).

Au-delà de cette affaire, L’UNI Dauphine a dénoncé à plusieurs reprises les dérives pouvant nourrir un climat d’antisémitisme sur le campus, notamment il y a quelques semaines, lors de la diffusion d’un documentaire anti-sioniste du média Blast. Au cours de cet événement, un étudiant de confession juive a été violemment pris à partie après avoir exprimé son opinion.

L’UNI Dauphine et ses élus continueront d’agir auprès de la présidence pour que les Dauphinois puissent étudier dans un cadre serein, où les principes de respect et d’unité de la communauté dauphinoise ne sont jamais remis en cause.

Pétition : Annulation table ronde de La France Insoumise avec le CCIE et les EMF

Ce mercredi, La France Insoumise invite à l’Assemblée Nationale le CCIE, organisation basée en Belgique considérée comme l’héritière de CCIF, dissous en France après la décapitation de Samuel Paty.

À ses côtés, les Étudiants Musulmans de France (EMF), organisation étudiante réputée proche des frères musulmans et dont l’UNI alerte sur la dangerosité depuis des années.

Cet évènement témoigne de la stratégie électorale de LFI visant à conquérir un électorat islamo-gauchiste.

Cet événement est dangereux et n’a pas sa place à l’Assemblée Nationale. Yaël Braun-Pivet, présidente de l’Assemblée, doit se saisir de ce sujet et mettre sur la table le fait d’annuler la venue de ces organisations au Palais Bourbon.

Inscription conférence UNI ASSAS

Agression à Paris 3 par des antifas

Ce midi, alors que les militants de l’UNI tractaient devant l’université Paris 3, une dizaine de militants pseudo-antifascistes sont venus pour tenter de leur arracher leurs tracts. Les militants ont refusé de se laisser faire et ont donc reçu de nombreux coups.

La police est intervenue et a arrêté trois d’entre eux. Nos militants se sont défendus dans le cadre de la légitime défense, se portent bien et sont actuellement au commissariat pour déposer plainte.

Alors que partout en France les violences d’extrême-gauche progressent, il faut rapidement agir en sanctionnant sévèrement les activistes violents et ceux qui les encouragent. Nous demandons à la présidence de Paris 3 d’exclure les trois étudiants arrêtés et de déposer plainte contre eux.

Jamais l’UNI ne reculera face à l’extrême-gauche.

Pétition : Pour étendre les horaires d’ouverture de la bibliothèque universitaire du campus Jacob de l’université de Savoie Mont Blanc

La bibliothèque universitaire du campus Jacob est accessible de 8h à 21h du lundi au jeudi, de 8h à
20h le vendredi et est inaccessible le samedi et le dimanche.

L’UNI, attachée au mérite et à l’égalité des chances, souhaite étendre les horaires d’ouverture de cette bibliothèque universitaire. Il s’agit d’une mesure d’égalité, tous les étudiants ne pouvant pas réviser dans les mêmes conditions chez eux.

Nous demandons, via l’ouverture de nouveaux jobs étudiants, à ce que l’USMB considère une ouverture de cette bibliothèque jusqu’à 23h en semaine ainsi que le samedi et une ouverture, a minima sur une demie journée, le dimanche.

Pour étendre les horaires d’ouverture de la bibliothèque universitaire du campus Jacob de l’Université de Savoie Mont Blanc, signe notre pétition !