Lors des élections aux conseils centraux de Nantes Université de novembre 2024, le porte-parole local de l’Union Pirate, organisation étudiante d’extrême-gauche qui se présentait également aux élections, a verbalement agressé nos militants en fin de journée sur le campus. Il leur a notamment dit : « Oui j’ai participé aux émeutes […] J’emmerde la police. J’emmerde la France. J’emmerde la race blanche ». Il a réitéré plusieurs fois cette dernière phrase, ce qui a permis à nos militants de filmer ses propos. Par ailleurs, durant le déroulement du scrutin, des militants d’extrême-gauche proches de l’Union Pirate et de Solidaires s’en sont pris physiquement à nos militants, allant même jusqu’à leur jeter des excréments au milieu du campus.
Ces étudiants, à raison, se sentaient probablement intouchables, ceux-ci étant dans une université dont la présidente utilise ses fonctions afin de diffuser une idéologie de gauche. A titre d’exemple, la présidente de Nantes Université avait appelé les étudiants à voter contre Marine Le Pen au second tour de l’élection présidentielle de 2022.
En août dernier, la responsable de l’UNI Nantes, qui n’était pas présente aux moments des faits et qui n’a pas publié la vidéo, a reçu un courrier l’informant que la Présidente de Nantes Université avait saisi la section disciplinaire. Celle-ci a exclu pour une durée de neuf mois notre responsable en octobre dernier au prétexte qu’elle ne s’était pas opposée à la diffusion de cette vidéo. Le porte-parole de l’Union Pirate, lui, n’est toujours pas exclu de Nantes Université alors même qu’entre temps il a suivi puis menacé notre responsable sur son lieu de travail et que nous en avons informé l’université. Les militants d’extrême-gauche qui s’en étaient physiquement pris à nos militants n’ont jamais été exclus non plus. L’Union Pirate et Solidaires disposent toujours de locaux au sein même de l’université.
L’UNI avait saisi le tribunal administratif de Nantes. Il vient de confirmer cette décision au prétexte que notre responsable n’a pas dénoncé la diffusion de la vidéo. L’entièreté des membres de l’Union Pirate devraient-ils être exclus de Nantes Université pour ne pas avoir condamné les propos racistes de leur porte-parole ?
Pour Nantes Université et les juges, dénoncer une agression constitue un trouble mais l’agression en elle-même n’en est pas un et ne porte pas atteinte à l’image de l’université. L’exclusion de notre responsable, à cause de son appartenance à l’UNI, est d’une gravité extrême car il s’agit d’une exclusion à motif politique, celui de supprimer la représentation de la droite dans les universités. Le délit d’opinion semble être de retour en France.L’UNI soutient pleinement sa responsable de Nantes et ne renoncera pas. Nous irons jusqu’au Conseil d’Etat pour obtenir justice. Nous ne reculerons pas devant les présidences d’université et les juges rouges qui tentent par tous les moyens de faire taire la jeunesse de droite.
Depuis plus de deux semaines, le campus de Tolbiac subit des blocages orchestrés par une minorité de militants d’extrême gauche, qui empêchent des centaines d’étudiants d’assister à leurs cours et de préparer sereinement leurs examens. Cette situation est d’autant plus préoccupante que des méthodes violentes ont été employées, mettant en danger la sécurité de l’ensemble de la communauté universitaire. L’utilisation de fumigènes a déjà conduit à des hospitalisations et représente un risque sérieux pour tous les étudiants et le personnel fréquentant le site de Tolbiac.
Alors que le mois de novembre marque une période cruciale d’évaluations intermédiaires et de préparation pour les partiels, ces actions perturbent gravement la vie universitaire. Pour beaucoup, le premier semestre est le plus exigeant ; il est donc essentiel que les cours puissent se dérouler dans des conditions sereines. Empêcher les étudiants de suivre leur cursus et de s’investir dans leur parcours est une atteinte inacceptable à leur droit à l’étude.
L’UNI condamne fermement ces blocages et l’usage de la violence pour imposer des idées. Ces agissements ne font qu’alimenter un climat de tension et d’insécurité, incompatible avec la mission de l’université et avec l’excellence de nos diplômes.
À ce titre, les représentants étudiants de l’UNI sont pleinement investis dans cette cause et travaillent activement avec ses élus et la présidence de Paris 1 pour prévenir et empêcher toute entrave à la liberté d’étudier.
Lors des élections étudiantes, qui se tiendront du 18 au 20 novembre, l’UNI, avec sa liste « UNI : Mérite, Excellence, Réussite”, portera la voix de ceux qui défendent un parcours académique sérieux, serein et d’excellence. Cette élection sera l’occasion de réaffirmer l’importance de cette liberté fondamentale et de choisir des représentants déterminés à la préserver.
Nous appelons la direction de l’université et les autorités compétentes à prendre des mesures fermes et immédiates pour mettre fin à ces violences et permettre la reprise des cours. La sécurité des étudiants doit être une priorité absolue.
L’UNI reste pleinement mobilisée pour défendre la liberté d’étudier et assurer des conditions d’études optimales.
Le bâtiment du campus Pasteur est de plus en plus vétuste : fuites dans les couloirs lorsqu’il pleut, mobilier de plus en plus dégradé… Le bâtiment n’est plus adapté aux étudiants.
Par ailleurs, il y a un besoin urgent d’installer des prises dans les amphithéâtres pour étudier dans de meilleures conditions.
Les étudiants doivent pouvoir étudier dans un cadre adapté.
Signe notre pétition demandant la rénovation du bâtiment du campus Pasteur, notamment en colmatant les fuites et en installant plus de prises, en scannant ce QR code !
Depuis des années, le bâtiment 1 du campus Jacob Bellecombette est de plus en plus vétuste : fuites dans les amphis lorsqu’il pleut, mobilier de plus en plus dégradé… Le bâtiment n’est plus adapté aux étudiants.
Il est inacceptable que l’administration laisse notre université se dégrader de la sorte.
Les étudiants doivent pouvoir étudier dans un cadre adapté.
Signe notre pétition demandant la rénovation du bâtiment 1, notamment en colmatant les fuites et en installant plus de prises !
Vendredi dernier, alors que l’extrême gauche, notamment l’UNEF et l’Union étudiante, avait décidé de se mobiliser contre la venue de Yaël Braun-Pivet à l’université, les manifestants sont entrés de force dans l’université, s’en sont physiquement pris aux agents de sécurité et ont rapidement interrompu les cours dans les amphithéâtres. Ils ont par ailleurs dégradé du matériel, notamment dans l’amphithéâtre censé accueillir la conférence de Yaël Braun-Pivet.
Ils ne se sont pas arrêtés là. Alors que les étudiants étaient confinés en cours avec la consigne de ne pas sortir de salle sauf en cas d’impératif, l’un des leaders de l’Union étudiante, Thimotée Martin-Brossat, a appelé la foule à s’en prendre à notre local. Un groupe de militants d’extrême-gauche et pro-palestiniens s’est alors dirigé en direction du local de l’UNI pour enfoncer sa porte et le saccager. Les membres de l’UNI se trouvant à l’intérieur ont été agressés. Un extincteur a notamment été utilisé pour frapper l’un de nos membres. Les agresseurs ont ensuite volé notre matériel et l’ont détruit dans la cour de l’université sous le chant « Lyon antifa ».
Cette attaque contre Lyon 3 et le local de l’UNI s’est déroulée à cause du sentiment d’impunité dont bénéficie l’extrême-gauche. Il n’est pas acceptable qu’au sein d’une université française, des centaines de militants envahissent une université afin d’empêcher la tenue d’une conférence, de détruire le matériel universitaire, d’interrompre les cours et d’agresser les étudiants qui ne seraient pas de gauche.
L’UNEF et l’Union étudiante et tous les étudiants impliqués dans cette attaque doivent être immédiatement sanctionnées, exclus de l’université et poursuivis en justice. Signe notre pétition pout interpeller Lyon 3 et les pouvoirs publics !
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Aujourd’hui, un nouveau cap a été franchi à Lyon 3. Alors que l’extrême gauche, notamment l’UNEF et l’Union étudiante, avait décidé de se mobiliser contre la venue de Yaël Braun-Pivet à l’université, qualifiée de « sioniste de service », les manifestations ont débordé au sein du campus de la Manufacture des tabacs. Les manifestants sont entrés de force dans l’université et ont rapidement interrompu les cours dans les amphithéâtres. Ils ont par ailleurs dégradé du matériel, notamment dans l’amphithéâtre censé accueillir la conférence de Yaël Braun-Pivet.
Ils ne se sont pas arrêtés là. Alors que les étudiants étaient confinés en cours avec la consigne de ne pas sortir de salle sauf en cas d’impératif, l’un des leaders de l’Union étudiante, Thimotée Martin-Brossat, a appelé la foule à s’en prendre à notre local. Un groupe de militants d’extrême-gauche et pro-palestiniens s’est alors dirigé en direction du local de l’UNI pour enfoncer sa porte et le saccager. Les membres de l’UNI se trouvant à l’intérieur ont été agressés. Un extincteur a notamment été utilisé pour frapper l’un de nos membres. Les agresseurs ont ensuite volé notre matériel et l’ont détruit dans la cour de l’université sous le chant « Lyon antifa ». Une plainte sera déposée.
Cette attaque contre Lyon 3 et le local de l’UNI s’est déroulée à cause du sentiment d’impunité dont bénéficie l’extrême-gauche. Il n’est pas acceptable qu’au sein d’une université française, des centaines de militants envahissent une université afin d’empêcher la tenue d’une conférence, de détruire le matériel universitaire, d’interrompre les cours et d’agresser les étudiants qui ne seraient pas de gauche.
Il doit y avoir un sursaut de la part de l’ensemble des acteurs : étudiants, professeurs, doyens, présidents d’universités, politiques, afin que cette insécurité grandissante dans les universités ne se transforme pas un jour en drame. Tous les étudiants impliqués dans cette attaque doivent être immédiatement exclus de leur université et poursuivis en justice. L’UNI ne cédera pas et continuera de porter une voix singulière à l’université : celle d’une jeunesse qui refuse de voir l’enseignement supérieur être détruit par une minorité d’extrême-gauche.
sans motif valable
Lors des élections aux conseils centraux de Nantes Université de novembre 2024, le porte-parole
local de l’Union Pirate, organisation étudiante d’extrême-gauche qui se présentait également aux
élections, a pris à partie nos militants en fin de journée sur le campus. Il leur a notamment dit :
« Oui j’ai participé aux émeutes […] J’emmerde la police. J’emmerde la France. J’emmerde la race
blanche ». Il a réitéré plusieurs fois cette dernière phrase, ce qui a permis à nos militants de filmer
ses propos. Notre responsable n’était pas présente à ce moment-là.
Cette vidéo est d’intérêt public car il s’agit du représentant d’une organisation qui se présente aux
élections tenant des propos racistes. Le compte national de l’UNI et celui de l’UNI Nantes, tous les
deux détenus par notre bureau national, ont diffusé cette vidéo et une plainte a été déposée contre
cet individu.
En août dernier, la responsable de l’UNI Nantes, qui n’était pas présente aux moments des faits et
qui n’a pas publié la vidéo, a reçu un courrier l’informant que la Présidente de Nantes Université
avait saisi la section disciplinaire. Celle-ci a exclu pour une durée de neuf mois notre responsable
en octobre dernier au prétexte qu’elle ne s’était pas opposée à la diffusion de cette vidéo. Le porte-
parole de l’Union Pirate, lui, n’est toujours pas exclu de Nantes Université.
L’exclusion de notre responsable, à cause de son appartenance à l’UNI, est d’une gravité extrême
car il s’agit d’une exclusion à motif politique, celui de supprimer la représentation de la droite dans
les universités.
L’UNI soutient pleinement sa responsable de Nantes qui a fait appel de cette décision auprès du
tribunal administratif de Nantes. Nous restons en attente du délibéré.
Nous le constatons chaque jour ; il est de plus en plus souvent fait mention de l’UNI dans l’audiovisuel, sur les réseaux sociaux, dans les journaux et même dans les livres… Cela n’a rien de bien surprenant. Depuis plus d’un demi-siècle, l’UNI déploie une activité intense dans de nombreux cénacles et n’a jamais dévié de son combat pour la France depuis sa création. Pour autant beaucoup de gens, en particulier chez les jeunes, ignorent la vraie nature de l’UNI. La tentation est alors grande de taper les trois lettres de l’acronyme UNI sur le net et de tomber sur des occurrences aux origines incertaines. Il en va par exemple ainsi de la fiche UNI sur Wikipédia qui est tout sauf une source fiable et objective lorsqu’il s’agit de décrire ce qu’est notre mouvement.
Nous ne pouvons passer notre temps à essayer de faire rectifier ce qui est dit de nous dans les médias. Il suffit de dire que dans la plupart des cas, les auteurs d’avis sur l’UNI sont inconnus et malveillants. Nous ne pouvons donc que conseiller à ceux qui voudraient mieux connaitre notre mouvement de visiter notre site : https://www.uni.asso.fr/
Pour l’heure, nous reproduisons ci-dessous une partie d’article que nous avons publié dans notre journal l’Action Universitaire en mai 2023. Dans un premier temps, ces quelques lignes vous en apprendront plus sur nous que les innombrables caricatures qui polluent le net.
L’UNI est une association tripartite rassemblant lycéens et étudiants, enseignants et personnes engagées dans la vie active (pour peu qu’elles s’intéressent aux questions d’éducation) qui a choisi de se battre là où la subversion trouve son terrain le plus favorable c’est-à-dire dans les lycées et les universités. Les établissements d’enseignement sont des lieux sensibles où, au moins en théorie, doivent se transmettre les connaissances et se former les esprits et qui fournissent au pays les élites dont il a besoin. Laisser ces lieux aux mains de professionnels de la révolution c’est leur permettre de façonner les esprits de toute une jeunesse et par conséquent c’est leur offrir le plus sûr moyen d’arriver un jour au pouvoir. Qui tient l’université se donne toutes les chances de tenir un jour la Nation…
Retour sur l’histoire. A l’origine, l’UNI était un mouvement anti-communiste (et l’est toujours) qui considérait que le marxisme constituait le plus grave danger qui pesait sur notre société. Mais entre la création de l’UNI en réaction aux événements de mai 68 et la fin de la guerre froide en 1989, le communisme s’est effondré et les tentatives de destruction de notre civilisation empruntent dorénavant de nouvelles voies. Cependant, si elles ne se réclament plus directement du communisme, les forces à l’œuvre sont tout aussi dangereuses. Qu’il s’agisse de détruire notre modèle de société pour y installer une forme d’anarchie individualiste et nihiliste ou de dictature des minorités, de mettre en place une société régressive et punitive au nom du culte de Gaia ou d’instaurer un régime religieux obscurantiste et féminicide, toutes les factions semblent se rapprocher et s’épauler pour constituer une menace globale sur nos libertés. Les marxistes d’hier qui voulaient imposer la dictature du prolétariat ont laissé place à des groupes subversifs qui, de prime abord, semblent moins bien structurés, mais créent des alliances idéologiques de circonstance et semblent étendre chaque jour de plus en plus leur influence sur une partie de la jeunesse à l’esprit critique de moins en moins bien aiguisé. L’UNI a donc logiquement adapté son discours et la forme de son combat à ces nouvelles menaces. Mais sur le fond, rien n’a changé. L’UNI continue d’être une force militante qui s’oppose à la prise de pouvoirs réels par les ennemis de la Nation et de la Civilisation française.
A ce stade il faut sans doute clarifier le type de société que nous voulons. D’une certaine manière, une société que nous qualifierions d’enracinée. Non pas que nous soyons opposés au progrès. Nous sommes persuadés que progrès et innovation sont les solutions à certaines crises matérielles majeures que rencontrent le pays et même la planète. Mais nous ne sommes pas des progressistes pour autant. La France, c’est 2000 ans de « façonnage » et d’histoire pour arriver à un ensemble cohérent d’individus qui ont en commun un socle, un passé, des frontières, une langue… une identité forte. Ce sont des individus amoureux de leur patrie, qui veulent vivre ensemble harmonieusement et qui font passer les intérêts du pays avant les intérêts catégoriels. Et c’est cela que nous voulons préserver à tout prix. C’est cela notre cause. Un pays indépendant de toutes les puissances étrangères, quelles qu’elles soient, d’essence chrétienne, économiquement libéral, et doté d’un État fort.
Vaste programme certes, mais qui nourrit notre combat depuis maintenant près de 56 ans…
Depuis 3 jours, le centre PMF est bloqué par une dizaine de militants l’extrême-gauche « en soutien à la Palestine ».
L’université de Paris 1 préfère annuler les cours et fermer le bâtiment aux étudiants plutôt que de déloger ces agitateurs et débloquer l’entrée du centre.
L’UNI s’est toujours opposée à toute forme de blocage au nom de la liberté d’étudier.
L’UNI demande à la présidence de l’université de sanctionner les auteurs de ces blocages et les associations qui encouragent et félicitent ces actes illégaux (SAP1 et Poing levé Paris 1).
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