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« Tout le monde déteste la police »… Cette petite musique que les médias martèlent, depuis des jours, érigeant des délinquants et des nervis d’extrême gauche en donneurs de leçon est insupportable.

Comment accepter que l’ensemble de nos forces de l’ordre soient ainsi traînées dans la boue et accusées de racisme et de violence systématique ?

À l’UNI, nous avons décidé de réagir. Nos jeunes militants ont immédiatement affiché leur soutien aux forces de l’ordre, comme ici à Aix-en-Provence.

Je vous écris aujourd’hui, car nous avons besoin de votre aide pour lutter contre ceux qui propagent cette « haine anti-flic ».

Qui manifestent contre nos forces de l’ordre ?

Alors, il faut poser la question : qui manifeste contre la police et la gendarmerie ? Les délinquants certainement. Mais pas seulement : on trouve aussi des « indigénistes », ces mouvements imitent le racisme plus qu’ils ne le combattent, des activistes d’ultra-gauche qui prétendent dénoncer la violence policière à coups de barre de fer et de cocktails incendiaires, et des organisations « islamistes » qui profitent du désordre actuel pour renforcer leur emprise sur une partie de la jeunesse…

Leur objectif commun est de détruire, « déconstruire » comme ils disent, les fondements de notre société et de l’identité française. Ils s’attaquent à nos institutions, à notre histoire, à notre patrimoine culturel. Ils dénigrent, caricaturent, accusent, culpabilisent … Tout est bon pour désigner « le blanc » comme l’oppresseur universel. Il doit s’excuser d’être blanc. À genoux !

Inacceptable !

Cette galaxie d’extrémistes, à l’UNI, nous la connaissons trop bien : nous combattons l’emprise de ces mouvements, en particulier le mouvement indigéniste, dans nos universités. Nous avons déjà dénoncé la multiplication des diplômes consacrés au « décolonialisme », dont l’objet est de donner un prétendu vernis scientifique à la haine de l’occident, afin de culpabiliser les peuples des pays occidentaux en expliquant qu’ils continuent, aujourd’hui encore, d’exercer un pouvoir sur les anciens pays colonisés et partant, doivent s’excuser et offrir des réparations, des compensations à toutes les personnes « racisées », selon leur propre expression.

Le plus triste, c’est que le gouvernement et une partie de notre classe politique font le jeu de ces mouvements. Le ministre de l’Intérieur, au lieu de soutenir nos forces de l’ordre qui prennent des risques pour assurer notre sécurité, entretient le soupçon de « racisme », en réclamant une tolérance zéro en cas de racisme supposé des forces de l’ordre. Et la tolérance zéro de la délinquance ? C’est pour quand ?

Car pendant ce temps, on nous diffuse en boucle des images de manifestations contre la police. En revanche, rien, ou si peu, n’est dit sur les caillassages des forces de l’ordre dans certaines cités. Rien sur les incendies qui obligent les pompiers à intervenir sous la protection des forces de l’ordre. Rien sur les habitants excédés qui ne dorment plus et qui interdisent à leurs enfants de descendre jouer dehors, car dehors, c’est la jungle du trafic de drogue.

Il faut s’opposer de toutes nos forces à ces manifestations et montrer qu’au contraire, nous soutenons notre police et notre gendarmerie. Nous refusons de faire le jeu de ceux qui veulent en réalité, fondamentalement, imposer leur idéologie racialiste et leurs intérêts communautaires.

Il est important de montrer que la grande majorité des Français a confiance dans sa police et sa gendarmerie, que nous sommes prêts à les soutenir face à ces attaques.

C’est pourquoi nous lançons une grande campagne d’affichage « La France soutient sa police et sa gendarmerie ».